L’application d’une loi différente que celle descendue par Allah – Sheikh Al Fawzan


Cours n°29

À propos de l’application d’une loi différente que celle descendue par Allah

Parmi les implications de la foi en Allah, le Très-Haut, et de son adoration : se résigner et agréer sa législation, ainsi que revenir au coran et à la sounnah lorsqu’une divergence a lieu lors des débats, des questions de croyance, des procès, des droits du sang et des biens et de tous les autres droits.

Allah est certes le juge équitable, à lui revient la loi. Il incombe donc aux gouverneurs d’appliquer sa loi et aux gouvernés de s’y reformer en jugeant leurs différents devant ce qu’Allah a fait descendre dans son livre et la sounnah de son prophète صلى الله عليه وسلم.

Allah dit à propos des responsables (du gouvernement):

 إِنَّ اللَّهَ يَأْمُرُكُمْ أَنْ تُؤَدُّوا الأَمَانَاتِ إِلَى أَهْلِهَا

وَإِذَا حَكَمْتُمْ بَيْنَ النَّاسِ أَنْ تَحْكُمُوا بِالْعَدْلِ

« Certes, Allah vous commande de rendre les dépôts à leurs ayants droit, et quand vous jugez entre des gens, de juger avec équité. Quelle bonne exhortation qu’Allah vous fait ! Allah est, en vérité, Celui qui entend et qui voit tout. » (Les femmes – 58)

Et il dit au sujet des gouvernés :

 يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا أَطِيعُوا اللَّهَ وَأَطِيعُوا الرَّسُولَ

وَأُوْلِي الأَمْرِ مِنْكُمْ فَإِنْ تَنَازَعْتُمْ فِي شَيْءٍ

فَرُدُّوهُ إِلَى اللَّهِ وَالرَّسُولِ إِنْ كُنتُمْ تُؤْمِنُونَ بِاللَّهِ

وَالْيَوْمِ الآخِرِ ذَلِكَ خَيْرٌ وَأَحْسَنُ تَأْوِيلاً

« Ô les croyants ! Obéissez à Allah, et obéissez au Messager et à ceux d’entre vous qui détiennent le commandement.
Puis, si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyez-la à Allah et au Messager, si vous croyez en Allah et au Jour dernier.
Ce sera bien mieux et de meilleure interprétation (et aboutissement).
 » (Les femmes – 59)

Ensuite il mit en évidence que la foi (imane) et demander jugement auprès d’une loi différente que celle descendue par Allah, ne peuvent s’assembler, le très haut dit :

 أَلَمْ تَرَ إِلَى الَّذِينَ يَزْعُمُونَ أَنَّهُمْ آمَنُوا بِمَا أُنزِلَ إِلَيْكَ وَمَا أُنزِلَ

مِنْ قَبْلِكَ يُرِيدُونَ أَنْ يَتَحَاكَمُوا إِلَى الطَّاغُوتِ وَقَدْ أُمِرُوا

أَنْ يَكْفُرُوا بِهِ وَيُرِيدُ الشَّيْطَانُ أَنْ يُضِلَّهُمْ ضَلالاً بَعِيداً

« N’as-tu pas vu ceux qui prétendent croire à ce qu’on a fait descendre vers toi [prophète] et à ce qu’on a fait descendre avant toi? Ils veulent prendre pour juge le Taghout, alors que c’est en lui qu’on leur a commandé de ne pas croire. Mais le Diable veut les égarer très loin, dans l’égarement. » (Les femmes – 60)

 فَلا وَرَبِّكَ لا يُؤْمِنُونَ حَتَّى يُحَكِّمُوكَ فِيمَا شَجَرَ بَيْنَهُمْ

ثُمَّ لا يَجِدُوا فِي أَنفُسِهِمْ حَرَجاً مِمَّا قَضَيْتَ وَيُسَلِّمُوا تَسْلِيماً

« Non!… Par ton Seigneur ! Ils ne seront pas croyants aussi longtemps qu’ils ne t’auront demandé de juger de leurs disputes et qu’ils n’auront éprouvé nulle angoisse pour ce que tu auras décidé, et qu’ils se soumettent complètement [à ta sentence]. » (Les femmes – 65)

Allah a, tout en jurant, nié la foi de celui qui cherche jugement auprès d’un autre que le prophète صلى الله عليه وسلم, et qui n’agrée pas son verdict et ne se soumet à lui.

Comme il a jugé de mécréants, d’injustes, et de pervers ceux qui ne gouvernent pas avec sa loi, le Très-Haut a dit :

 وَمَنْ لَمْ يَحْكُمْ بِمَا أَنزَلَ اللَّهُ فَأُوْلَئِكَ هُمْ الْكَافِرُونَ

« Et ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, les voilà les mécréants. » (La table servie – 44)

 وَمَنْ لَمْ يَحْكُمْ بِمَا أَنزَلَ اللَّهُ فَأُوْلَئِكَ هُمْ الظَّالِمُونَ

« Et ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, ceux-là sont des injustes. » (La table servie – 45)

 بِمَا أَنزَلَ اللَّهُ فِيهِ وَمَنْ لَمْ يَحْكُمْ بِمَا أَنزَلَ اللَّهُ فَأُوْلَئِكَ هُمْ الْفَاسِقُونَ 

« Ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, ceux-là sont les pervers. » (La table servie – 47)

Il est indispensable de juger avec la loi divine et de demander son application sur l’ensemble des points de discorde liés à l’effort d’interprétation entre les savants.

Alors, nous n’acceptons que ce qui est en conformité avec le coran et la sounnah, sans prendre parti pour un imam ou suivre inconditionnellement une école de pensée, et ceci, dans tout ce qui concerne les droits comme le règlement de différends ou les plaidoiries, sans en restreindre l’application au simple statut civil comme c’est le cas dans certains pays qui se réclament de l’islam.

L’islam est un tout, il ne se fragmente pas, Allah dit :

 يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا ادْخُلُوا فِي السِّلْمِ كَافَّةً

« Ô les croyants ! Entrez pleinement dans l’Islam » (La vache – 208)

 أَفَتُؤْمِنُونَ بِبَعْضِ الْكِتَابِ وَتَكْفُرُونَ بِبَعْضٍ

« Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste ? » (La vache – 85)

De même, les adeptes des différentes écoles de pensée et des nouvelles tendances doivent soumettre les avis de leurs imans au coran et à la sounnah, alors ce qui est en accord, nous l’acceptons et ce qui est différent nous le rejetons sans fanatisme ou parti pris.

Surtout en ce qui concerne les questions dogmatiques, conformément aux conseils des imams, et ceci sont leurs écoles à tous.

Parmi les paroles émises par les quatre grands imams qui prouvent leur attachement à la sounnah et le délaissement de ce qui va à son encontre, que ce soient leurs propres paroles ou celles d’autrui:

♦ L’imam Abou Hanifa dit: “Si le hadith est authentifié alors il est mon école”.

♦ L’imam Malik ibn Anass dit: “Personne après le prophète صلى الله عليه وسلم, si ce n’est sa parole acceptée ou rejetée, sauf le prophète صلى الله عليه وسلم”.

♦ L’iman Chafi’i dit: “Si vous trouvez dans mon livre ce qui en contradiction avec la sunna, alors dites comme la sunna du prophète صلى الله عليه وسلم et délaissez ma parole”.

♦ L’imam Ahmed dit: “Ne me suivez pas aveuglement ainsi que Malik, Chafi’i ou al-awza’i ou a-thawri, prenez d’ou ils ont pris”.
(Voir raf’’ou al malam du sheikh Al Islam Ibn Taimiyya et l’introduction du livre sifatou a-salati a-nabiyi de l’imam al-albani.) (NDT)

Ceux donc qui les contredisent dans cela ne sauraient être leurs adeptes et même s’ils le prétendent.

Allah dit à leur sujet:

 اتَّخَذُوا أَحْبَارَهُمْ وَرُهْبَانَهُمْ أَرْبَاباً مِنْ دُونِ اللَّهِ وَالْمَسِيحَ ابْنَ مَرْيَمَ 

« Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d’Allah » (Le repentir – 31)

Ce verset n’est pas restreint au cas des chrétiens, il englobe tous ceux qui agissent de la même manière.

Celui donc qui va à l’encontre de ce qu’ont ordonné Allah et son prophète صلى الله عليه وسلم comme le fait de gouverner entre les gens par une autre loi que celle descendue par Allah, ou demander (l’application de cette autre loi) afin d’assouvir ses passions et désirs a ôté l’alliance de l’islam et de la foi, et même s’il prétend être croyant.

Allah, le très haut, a blâmé celui qui désire cela et a démenti leur prétention à avoir la foi, il, le très haut dit :

 أَلَمْ تَرَ إِلَى الَّذِينَ يَزْعُمُونَ أَنَّهُمْ آمَنُوا بِمَا أُنزِلَ إِلَيْكَ وَمَا أُنزِلَ مِنْ قَبْلِكَ

يُرِيدُونَ أَنْ يَتَحَاكَمُوا إِلَى الطَّاغُوتِ وَقَدْ أُمِرُوا

أَنْ يَكْفُرُوا بِهِ وَيُرِيدُ الشَّيْطَانُ أَنْ يُضِلَّهُمْ ضَلالاً بَعِيداً 

« N’as-tu pas vu ceux qui prétendent croire à ce qu’on a fait descendre vers toi [prophète] et à ce qu’on a fait descendre avant toi ? Ils veulent prendre pour juge le Taghout, alors que c’est en lui qu’on leur a commandé de ne pas croire. Mais le Diable veut les égarer très loin, dans l’égarement. » (Les femmes – 60)

Qui prétendent croire”: cela sous-entend la négation de leur foi, car ce verbe (prétendre) s’emploie le plus souvent pour designer celui qui prétend mensongèrement un fait, son action est ainsi contraire à ce qu’il avance.

Cela est confirmé par le verset :alors que c’est en lui qu’on leur a commandé de ne pas croire”, car mécroire au taghout est un pilier de l’unicité comme cela est indiqué dans le verset de la sourate la vache (« Donc, quiconque mécroit au Rebelle tandis qu’il croit en Allah saisit l’anse la plus solide, qui ne peut se briser »), si donc ce pilier n’est pas établi, il ne peut être monothéiste.

L’unicité est la base de la foi qui valide l’ensemble des actions et qui, en son absence, les annule. Comme cela est clarifié dans le verset :

 فَمَنْ يَكْفُرْ بِالطَّاغُوتِ وَيُؤْمِنْ بِاللَّهِ فَقَدْ اسْتَمْسَكَ بِالْعُرْوَةِ الْوُثْقَى

« « Donc, quiconque mécroit au Rebelle tandis qu’il croit en Allah saisit l’anse la plus solide, qui ne peut se briser » (La vache – 256)

On en conclut que réclamer le jugement du taghout c’est avoir la foi en lui.

Nier la foi de celui qui ne gouverne pas avec la loi divine revient à dire que son application est preuve de foi, de croyance, et d’adoration d’Allah qui doit être professée par le musulman.

Partant de là, on ne doit pas mettre en pratique la législation d’Allah uniquement pour le fait qu’elle est la plus favorable pour les gens et la plus efficace du point de vue de la sécurité. Certaines personnes se basent sur cet aspect et oublient le premier aspect.

Allah a blâmé ceux qui gouvernent avec la loi d’Allah pour des fins personnelles, sans qu’ils n’adorent Allah par cela, le très haut dit :

 وَإِذَا دُعُوا إِلَى اللَّهِ وَرَسُولِهِ لِيَحْكُمَ بَيْنَهُمْ إِذَا فَرِيقٌ مِنْهُمْ مُعْرِضُونَ (48)

وَإِنْ يَكُنْ لَهُمْ الْحَقُّ يَأْتُوا إِلَيْهِ مُذْعِنِينَ 

« Et quand on les appelle vers Allah et Son messager pour que celui-ci juge parmi eux, voilà que quelques-uns d’entre eux s’éloignent. 49. Mais s’ils ont le droit en leur faveur, ils viennent à lui, soumis. » (La lumière – 48,49)

Leur unique intérêt est la passion qu’ils suivent, et ce qui est contraire à elle, ils s’en détournent, car ils ne cherchent pas à adorer Allah lorsqu’ils demandent au prophète de les juger.


Statut de celui qui gouverne par une loi autre que celle descendue par Allah

Allah, le Très-Haut dit:

 وَمَنْ لَمْ يَحْكُمْ بِمَا أَنزَلَ اللَّهُ فَأُوْلَئِكَ هُمْ الْكَافِرُونَ

« Et ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, les voilà les mécréants. » (La table servie – 44)

Ce verset nous indique que le jugement par une loi différente que celle d’Allah est mécréance.

Cette mécréance est, tantôt majeure (son auteur sort de la religion) et tantôt mineure (son auteur ne sort pas de la religion), suivant l’état du gouverneur :

♦ S’il croit que l’application de la loi divine n’est pas obligatoire et qu’il a le choix de l’appliquer ou pas, ou bien qu’il la méprise et croit que d’autres législations, comme le droit positif, sont meilleures ou équivalentes, ou qu’il pense qu’elle n’est plus d’actualité, ou cherche, en gouvernant par une loi différente l’agrément des mécréants et des hypocrites, tout ceci est une mécréance majeure.

♦ Et s’il croit fermement et a science de l’obligation de juger par la loi divine, puis dans un contexte particulier délaisse cette loi tout en reconnaissant qu’il mérite d’être sanctionné (à cause de cela), alors il est (dans ce cas) désobéissant et désigné comme étant un mécréant auteur d’une mécréance mineure.

♦ Et, dans le cas où il ignore (dans cette affaire) la loi d’Allah tout en s’efforçant activement de parvenir à la connaissance du jugement, puis commet une faute, alors il est considéré comme étant dans l’erreur, son effort d’interprétation est récompensé et son erreur pardonnée.

Tout ceci est relatif aux affaires particulières.

Par contre, le cas diffère pour ce qui est des affaires généralesSheikh Al Islam Ibn Taimiyya cite :

“Si le juge est une personne pieuse, mais donne un verdict sans connaissance, Il sera parmi les gens du feu. Et dans le cas où il juge sans équité tout en ayant connaissance du sujet, alors il sera parmi les gens du feu. Enfin, si son jugement se fait sans connaissance et sans équité, il sera, de plus forte raison, parmi les gens du feu. Cela concerne son jugement dans les affaires personnelles.

D’autre part, si son jugement est une loi générale dans la religion des musulmans, comme rendre le vrai faux et le faux vrai, la sunna innovation et l’innovation sunna, le bien mal et le mal bien, interdire ce qu’Allah et son prophète ont autorisé et autoriser ce qu’Allah et son prophète صلى الله عليه وسلم ont interdit. Ceci est d’une autre envergure, le juge (dans ce cas) est Allah, seigneur des mondes, divinité des envoyés, maître du jour du jugement, celui à qui revient la louange dans l’ici-bas et l’au-delà :

 لَهُ الْحُكْمُ وَإِلَيْهِ تُرْجَعُونَ

« À Lui appartient le jugement ; et vers Lui vous serez ramenés. » (Le récit – 88)

هُوَ الَّذِي أَرْسَلَ رَسُولَهُ بِالْهُدَى وَدِينِ الْحَقِّ لِيُظْهِرَهُ عَلَى الدِّينِ كُلِّهِ وَكَفَى بِاللَّهِ شَهِيداً 

« C’est Lui qui a envoyé Son messager avec la guidance et la religion de vérité [l’Islam] pour la faire triompher sur toute autre religion. Allah suffit comme témoin. » (La victoire éclatante – 28) “ Madjmou’ al-fatawa (35/388).

Il dit aussi :

“Nul doute que celui qui ne croit pas en l’obligation d’appliquer la loi qu’Allah a descendue sur son prophète صلى الله عليه وسلم, est un mécréant. Celui qui rend licite le fait de juger entre les gens par ce qu’il conçoit d’adéquat sans se conformer à ce qu’Allah a fait descendre est un mécréant, car il n’y a pas de communauté qui n’ordonne pas de juger avec équité.

Il se peut que la justice dans leur religion soit celle perçue par leurs dirigeants. De même, beaucoup de ceux qui se réclament de l’islam jugent par leurs anciennes coutumes qui n’ont aucune relation avec ce qu’Allah a fait descendre, comme c’est le cas des anciennes coutumes bédouines (les traditions de leurs antécédents).

Les émirs suivis (par leur peuple) considéraient que ces traditions devaient être la loi appliquée en dehors du livre et de la sounnah, et ceci est la mécréance.

Beaucoup de gens se convertirent à l’islam, mais ne jugeaient qu’avec les traditions prédominantes appliquées par leurs chefs.

Lorsque ceux-là apprennent qu’il ne leur est pas permis de juger par autre que la loi divine, puis ne s’y conforment pas, bien plus, ils rendent licite de juger avec ce qui est contraire à la loi divine, dans ce cas ils sont des mécréants” (Minhaju a-sunnati a-nabaouiya (5/130) et la suite de la citation de Ibn Taymiyya est la suivante : “Dans ce cas ils sont des mécréants ou alors ils sont des ignorants comme cela a été précédemment traité”. (NDT))

Sheikh Mohammed ibn Ibrahim cite :

“Ce qui a été commenté comme étant mécréance sans être mécréance (C’est à dire la mécréance mineure, qui ne fait sortir de l’islam. (NDT)), concerne le fait de gouverner par une loi autre que celle d’Allah tout en reconnaissant l’acte de désobéissance et que la loi d’Allah est la seule vérité.

Ceci est ce qui provient de l’homme une fois ou autre. Par contre, celui qui met en place ces lois comme institution, cet acte-là est mécréance et même s’ils disent : “nous sommes dans l’erreur, et la loi divine est plus juste”. Ceci est mécréance qui fait sortir de l’islam” Majmu’ fatawa sheikh Mohammed Ibn Ibrahim (12/270).

Il, qu’Allah lui accorde miséricorde, a distingué le jugement partiel, qui n’est pas répétitif, et le jugement général qui est la référence sur laquelle reposent toutes les lois ou presque. Il a jugé que ceci est la mécréance qui fait sortir de l’islam, car celui qui s’écarte de la loi islamique et la remplace par les lois du droit positif, est une preuve qu’il voit que cette loi est meilleure et plus efficace que la loi musulmane, et nul doute que ceci est une mécréance majeure, elle fait sortir de l’islam et s’oppose à l’unicité.

 

 

 


 

 

Cours de Tawhid

Traduction tiré du livre
‘Aqidat-ul Tawhid de Sheikh Al Fawzan حفظه الله traitant des bases de la croyance d’Ahl Sounnah wa al jama’a.

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